agression contre Ingrid G., 11 ans

bonsoir,

le grêlé est un personnage atypique

sa première agression :  le 13ème arrondissement de PARIS près de sa zone de confort

sa dernière agression : à Saclay, la ferme de villeras près de sa zone de confort pour dérouter les enquêteurs !

en effet un tueur élargit sa zone d'agression au fur et à mesure de sa montée en puissance, loin de sa zone de confort,
idée couramment admise !

le grêlé aurait ainsi brouillé les pistes !

son lieu d'habitation probable : dans un rayon de 30 kilomètres !

pour la première fois il commet son agression près de chez lui, une dernière provocation ! là où il n'est pas attendu !

bonjour,

les affaires criminelles sont rarement solutionnées grâce à des portraits robots

la fillette agressée pourrait le reconnaître par la voix

en 2017 son visage doit avoir beaucoup changé

en 1994 personne n'a reconnu l'inconnu du portrait robot

rappelez-vous le portrait robot de Guy Georges, rien à voir avec l'individu arrêté !

il faut attendre que la chance se manifeste maintenant ou que l'individu agresse à nouveau pour donner enfin un nom au grêlé !

ne pas oublier que le portrait robot a été dressé à la suite du témoignage d'une enfant traumatisée, le stress traumatique a joué un rôle non négligeable et déforme obligatoirement le visage de l'inconnu !

bonjour,

le grêlé s'est contenté de recopier les lettres de Diderot à Sophie Volland
il a changé certains lieux
il a remplacé des mots par d'autres

c'est surtout du recopiage

pas besoin d'être un grand intellectuel pour procéder de la sorte

si l'on procède ainsi c'est que dans la vraie vie on n'a pas une grande imagination et de grands talents !

J'ai quand meme du mal à attribuer cette lettre au grelé j'avoue
tu vosi un para ecrire ca si vraiment il l'ete ce qui m 'etonne pas

du document:

Le grêlé? Voilà ce que tu devrais y voir, ô Freud, ô temps révolus. Avec l'habitude de dire ce que tu y vois, c'est ainsi que tu aurais dû me parler. Moi aussi peut-être. Si tu savais le mal que tu m'as fait. Mais quand tu le saurais, qu'est-ce que cela te ferait? Je ne te rappellerais pas des sentiments oubliés, et j'éloignerais peut-être une vérité qu'il faudra pourtant que je sache. DIDEROT Avec l’habitude de dire ce que vous voyez, c’est ainsi que vous auriez dû me parler. Si vous saviez le mal que vous m’avez fait!.... Mais quand vous le sauriez, qu’est-ce que cela vous ferait? Je ne rappellerais point en vous des sentiments qui n’y sont plus, et j’éloignerais peut-être une vérité qu’il faudra pourtant que je sache. Parlez-moi vrai, n’est-ce pas que vous n’aimez plus? J’ai vu la réponse que vous avez faite à un certain billet. Elle a ajouté ce qui manquait à ma peine ! Il serait bien plus simple de me dire : Le sentiment que j’avais est usé ; j’ai pesé la peine et le plaisir et le plaisir m’a paru léger ; comme je n’aimais plus, j’ai conçu que ma sœur avait raison. Je vous estimerai toujours. Et j’entendrais tout cela bien mieux que : je ne veux point le gêner, je ne veux point l’être, je n’empêche point qu’il saisisse l’amusement qui se présente, et j’espère qu’il approuvera que je le cherche. On a tant d’indulgence quand on n’a plus d’amour ! J'ai vu un certain billet, elle a rajouté ce qui manquait à ma peine. Il serait bien plus simple de me dire: le sentiment qui m'étreignait est parti; j'ai pesé la peine et le plaisir et le plaisir m'a paru léger; comme je n'aimais plus, j'ai conçu que le coeur avait raison. Je t'estimerais toujours. Et j'entendrais tout cela bien mieux que: je ne veux pas le gêner, je ne veux pas l'être, je n'empêche pas qu'il saisisse l'amusement et j'espère qu'il approuvera que je le cherche. On a tant d'indulgence que quand on n'a plus d'amour. Avec l'habitude que tu as de regarder au fond de ton âme, regardez ce que vous devez voir. Suis-je levé et t'ai dit bonsoir à 9 heures et n'étais pas encore couché à minuit. On n'entend rien aux amants, il semblent n'être pas fait pour être toujours ensembles, on dit qu'ils... séparés, ils souffrent trop. Bonsoir pourtant et pour la dernière fois. Avec l’habitude que vous avez de regarder au fond de votre âme, voilà ce que vous y devez voir. combien de fois je me suis levé et vous ai dit bonsoir à neuf heures, et n’étais pas encore parti à minuit ! On n’entend rien aux amants ! Ils semblent n’être pas faits pour être toujours ensemble, ni pour être séparés ; toujours ensemble, on dit qu’ils s’useraient ; séparés, ils souffrent trop. Bonsoir pourtant, et pour la dernière fois. Me voilà parti. Me voilà à Vandre. C'est un petit village rangé sur la cîme d'un coteau dont la Lizac arrose le pied. Le bel endroit. Me voilà parti ; me voilà à Chaumont ; me voilà à Brethenay ; c’est un petit village rangé sur la cime d’un coteau dont la Marne arrose le pied. Le bel endroit ! Me voilà à Vignory Je ne pense pas qu’on me retienne à Isle. On paraît trop pressé de vous rejoindre. Dieu veuille que cet empressement dure ! S’il était réel, mes délais ont dû l’augmenter, mais on n’y connaît rien. Après-demain, Circé m’aura en sa puissance. Non, non, ma Sophie me garde, et celui que ma Sophie garde est bien gardé. Bonsoir, toutes les deux. J’écris sans voir. Je suis venu; je voulais vous baiser la main et m’en retourner. Je m’en retournerai sans cette récompense; mais ne serai-je pas assez récompensé si je vous ai montré combien je vous aime? Il est neuf heures, je vous écris que je vous aime. Je veux du moins vous l’écrire; mais je ne sais si la plume se prête à mon désir. Ne viendrez-vous point pour que je vous le dise et que je m’enfuie? Adieu, ma Sophie, bonsoir; votre cœur ne vous dit donc pas que je suis ici ? Voilà la première fois que j’écris dans les ténèbres: cette situation devrait m’inspirer des choses bien tendres. Je n’en éprouve qu’une: je ne saurais sortir d’ici. L’espoir de vous voir un moment m’y retient, et j’y continue de vous parler, sans savoir si j’y forme des caractères. Partout où il n’y aura rien, lisez que je vous aime. Il me prend une bonne envie de vous gronder; comment! vous êtes quinze jours sans entendre parler de moi, et vous ne vous en plaignez pas? Ah! mon amie, l’absence opère; vous m’aimez moins; vous vous souciez moins d’entendre parler de moi; vous me Je ne pense pas qu'on m'y retienne. On paraît trop pressé de te rejoindre. Dieu veuille que cet empressement dure. S'il était reéel, les délais ont dû augementer, mais n'y connaît rien. Après-demain, Circé m'invite à sa puissance. Non, non ma douce XXX me garde et celui que ma douce XXX garde est bien gardé. Bonsoir. J'écris sans voir. Je suis venu. Je voulais te baiser la main et m'en retourner. Je m'en retournerai sans cette récompense. Mais ne serai-je pas assez récompensé, si je t'ai montré combien je t'aime. Il est 9 heures, je vous, je t'écris que je t'aime; je veux du moins te l'écrire mais je ne sais si ma plume se prête à mon désir. Ne viendras-tu pas pour que je te le dise et que «je m'enfuie». Adieu ma XXX, bonsoir. Ton coeur ne te dit donc pas que je suis ici. Voilà la première fois que j'écris dans les ténèbres. Cette situation devrait m'inspirer des choses bien tendres. Je n'en éprouve qu'une, c'est que je ne saurais sortir d'ici. L'espoir de te voir un moment me retient, et je continue de te parler, sans savoir si je Forme des caractères. Partout où il n'y aura rien, lisez lis que je t'aime. Voilà qu'il me prend une bonne envie de te violer. Comment? Tu es 15 jours sans entendre parler de moi, et tu ne t'en plains pas? Ah XXX l'absence opère; tu m'aimes moins, tu te soucies moins d'entendre parler de moi; et tu me fais entrevoir un temps où tu pourrais t'en passer tout à fait et (un peu?) plus éloigné ou peut-être... XXX, ne t'affliges pas. Je ne pense pas ce que je te dis là. Tu as pour moi de l'indulgence. C'est ma situation seule que tu accuses et tu as la délicatesse de ne rien me reprocher. Tu attendras toujours mes lettres avec impatience. Tu les liras toujours avec plaisir, ce sera le principal ennemi de ton ennui, dans l'exil où je te vois condamner de vivre. faites entrevoir un temps où vous pourriez vous en passer tout à fait; et un peu plus éloigné où peut-être… Mon amie, ne vous affligez pas: je ne pense pas ce que je vous dis là. Vous avez de l’indulgence pour mes affaires. C’est ma situation seule que vous accusez, et vous avez la délicatesse de n’en pas accroître le désagrément par vos reproches. Vous attendrez toujours mes lettres avec impatience; vous les lirez toujours avec plaisir. Ce sera la principale allégeance de votre ennui, dans l’exil où je vous vois condamnée à vivre. Qu’il est triste à présent, cet exil! Endurez-le, mon amie; endurez-le encore un moment; bientôt celui qui vous aime, celui que votre cœur désire, vous apparaîtra, et sa présence dissipera toute la tristesse qui vous environne. Qu'il est triste à présent cet exil. Dure, XXX, dure encore un moment. Celui que ton coeur désire, t'apparaîtra, et sa présence dissipera toute la triste qui t'environne. As-tu aimé mon poème? Réponds-moi vite. La Grèce en mai Apparaît sublime Cette déesse l'a trompé Il se lamente Se console Et devient L'être incompris... 

venus trompe vulcain avec son frere mars
at'i lun frere jumeaux.....
Les jumeaux ont'il le meme ADN ?

La Grèce en mai Apparaît sublime

il commet pas mal de crimes en mai
Paris en mai apparait sublime .....

La beauté des mortels: Essai sur le monde grec à l'usage des hommes

cette deese la trompe
dans le livre page
et il raconte comment cette deesse a pu tromper zeus lui meme...

le grêlé serait originaire de l'Est de la France

je susi de MEtz (est ) pourquoi lui aussi serasi de l'est ?
et s'il a fait ses etudes à Paris masi dans quel domaine

Et est on sur que ces lettres vienne de lui ?
deroutant sica viens de lui
Bizarre je dirais
quel est ton métier Mimou ?

bonsoir,

sous le pont saint Michel coule la Seine
et nos amours
faut-il qu'il m'en souvienne
la joie venait toujours après la peine

vienne la nuit sonne l'heure
les jours s'en vont je demeure

les mains dans les mains restons face à face
tandis que sous
le pont de nos bras passe
des éternels regards l'onde si lasse

vienne la nuit sonne l'heure
les jours s'en vont je demeure

l'amour s'en va comme cette eau courante
l'amour s'en va
comme la vie est lente
et comme l'espérance est violente

vienne la nuit sonne l'heure
les jours s'en vont je demeure

passent les jours et passent les semaines
ni temps passé
ni les amours reviennent
sous le pont saint Michel coule la Seine

vienne la nuit sonne l'heure
les jours s'en vont je demeure

bonsoir,

originaire de l'est de la France

service militaire dans le sud-ouest

études supérieures à Paris

travail à Paris puis en Seine et Marne

habite la Seine et Marne

bonsoir,

il remplace aussi la Marne par la Lizac !

de plus en plus troublant, son inconscient est en train de lui jouer un mauvais tour !

bonsoir,

le grêlé serait originaire de l'Est de la France
(il supprime Chaumont pour remplacer par Vandre)

le grêlé aurait fait son service militaire dans le sud ouest
17700 Vandre tout près de Saintes (parachutistes)
82200 Lizac  tout près de Montauban et Toulouse Francazal (parachutistes)


le grêlé aurait effectué ses études à Paris
connaît très bien le quartier latin


le grêlé aurait travaillé à Paris puis en Seine et Marne

n'avait pas de domicile fixe sur Paris mais aurait trouvé un logement en seine et marne

bonsoir,

Le grêlé                                                                                                              DIDEROT                                                                                  

voilà ce que tu devrais y voir, ô Freud, ô temps révolus.


Me voilà parti.                                                                                        Me voilà parti; me voilà à Chaumont
Me voilà à Vandre.                                                                                   Me voilà à Brethenay



c'est un petit village rangé sur la cime d'un coteau                                        c'est un petit village rangé sur la cime d'un coteau
dont la Lizac arrose le pied.Le bel endroit                                                    dont la Marne arrose le pied, le bel endroit ! Me voilà à Vignory



je ne pense pas qu'on m'y retienne.                                                            je ne pense pas qu'on me retienne à Isle.
on parait trop pressé de te rejoindre                                                           on parait trop pressé de vous rejoindre




As-tu aimé mon poème ?
Réponds-moi vite
La Grèce en mai
Apparaît sublime
Cette déesse l'a trompé
Il se lamente
Se console
Et devient
L'être incompris........

peut etre pas sa voiture
il m'est venu une idee
ca risque de prendre un temp de fou mais si ont partage avec les internaute
retrouve des foto de coapin d'avant année 73  par exmeple et ont regarde si ont trouve un grand con qui lui ressemble ca dois pas passer a la trappe ca
commencons par saclay ..

bonjour,

j'ai acquis la conviction que le grêlé habiterait bien en seine et marne :

lettres à Sophie Volland, des lieux remplacés par d'autres, c'est assez troublant !

un témoin assure que la voiture volvo était immatriculée dans le 77 !

il fait tout pour noyer le poisson, mais l'inconscient peut jouer les troubles-fête !

pourquoi si sur ?

bonsoir,

il habite en seine et marne;
98%  de probabilités !

il a arrêté avec l'arrivée de l'ADN !

il assouvit ses fantasmes différemment !

Je pense savoir pourquoi le grele a arreté
je pense que sa condition physique c'est bien dégradé et ne lui permet plus ce genre de "sport"

Le grele est malade  masi vivant j'en susi sur ( mon flaire...)
dossier d'instruction
homo reformé de l'armee ?
un homme fragile  frustré et solitaire
intelligence superieur à la moyenne
il se presente au victime avec une faussei identité  ? il sait qu'il   vas   laisser des temoins...
pourquoi les enfant
il se vois  lui  a traver les enfants
il ressemble a la personne qu il deteste (sa mere)?
Je suisassez d'accord que ces gens ne s'arrete pas comme celà
il a des trophées à la maison et je pense que oui les gens le connaissent dans son entourgae masi n'imagine aps un instant que ....

bonsoir,

le grêlé semble connaître parfaitement  la ville de Mitry-Mory

lieu d'observation du groupe d'enfants :
possibilité de repérage à partir des châteaux d'eau, nombreux au sein du département !

il connait aussi le département de l'Essonne mais moins bien que la seine et marne
possibilité de repérages à partir des châteaux d'eau au sein de ce département !

dans le cadre de son travail il parcourt les départements du 91 et 77, aussi le 95 !

bonsoir,

en 1994, le violeur avait beaucoup vieilli par rapport à l'année 1986 !

on sentait chez cet homme un certain laissé aller, pas très propre, il avait une odeur particulière !

même s'il est resté avec Ingrid pendant plusieurs heures, il y a quant même le choc traumatique de ce viol,
reconstituer son visage n'est pas évident surtout à 11 ans.

le portrait robot ne ressemble pas vraiment à celui de 1986

par contre le portrait robot de 1986 est très fiable, plusieurs témoins ont avalisé ce portrait à 100%

il été bel homme

bonjour,

il sentait l'herbe.....

les notes vertes  des huiles essentielles sont portées par des huiles en général issues de feuilles.
il s'agit d'une odeur très fraîche qui rappelle la nature luxuriante et l'herbe coupée.
ces notes sont souvent utilisées comme note de coeur dans des parfums naturels frais, pour porter les autres odeurs.
pour profiter de toutes leurs facettes, elles doivent être portées et mises en valeur par les notes de fond.
les notes vertes s'utilisent plutôt dans des parfums masculins.

bonjour,

-le violeur court toujours
-le violeur traqué par les gendarmes
-cauchemar pour une fillette
-une fillette de Mitry enlevée et violée
-on recherche la voiture du violeur
-le violeur de la fillette court toujours
-quelqu'un a-t-il vu le violeur ?
-maniaque sexuel : l'enquête repart à zéro
-un odieux personnage enlève et séquestre une fillette de onze ans avant de la violer
-on recherche la voiture du violeur
-alerte au détraqué sexuel
-une fillette enlevée et violée par un pseudo-policier
-le pseudo-policier violeur d'un fillette arrêté

bonjour,

un pervers traumatique............violé dans son enfance

un pervers éducatif...............BDSM

réalisation de son scénario

repérer-suivre-attendre
il porte des gants
le consentement de la petite destabilise l'agresseur, il a déchargé
une fille qui l'a séduit
le plaisir de l'interdit

c'est tout çà le grêlé