la traque du grelé

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_fran%C3%A7ais_de_la_photographie

Ce livre s'adresse à tous ceux qui s'intéressent aux grandes affaires criminelles et notamment les cas non résolues des  tueurs en série.
C'est la prise de  parole d'une avocate  partie prenante sur le sujet   qui  accompagne les familles des victimes sur de nombreuses affaires,  souvent  médiatisées, et qui  propose de légiférer afin de supprimer la prescription en la matière.
Entre 2000 et 2010, de nombreuses publications  ont attiré l'attention des journalistes, des médias et des institutions  sur le phénomène des tueurs en série et de la façon dont il fallait agir pour en prémunir la société. Près de vingt ans plus tard, force est de constater que malgré toute la pédagogie déployée auprès des instances en place, malgré les formations en criminologie, malgré les nombreuses conférences, peu de choses ont évolué, ne prenant pas à sa juste mesure ce  phénomène  en France.
Ce constat alarmant a poussé Corinne Hermann  à revenir sur le sujet des cold cases des tueurs en série. Comment  l'inaction de certains permet aux tueurs  en  série de continuer à traquer leurs proies, se servant des dernières innovations montrées dans les fictions  pour parfaire leurs crimes.
Juriste et criminologue, l'auteur a instruit les dossiers de Michel Fourniret, Jacques Rançon, Nordhal Lelandais après ceux de Francis Heaulme ou Emile Louis.
Une mise au point nécessaire sur ces affaires non résolues  équivalent à une deuxième mort des victimes, sans compter la souffrance des familles, à la merci d'une décision de justice pouvant classer un dossier faute d'éléments nouveaux.

Géraldine PIECKO







marie Anne Laurent

ces deux crimes sauvages sont peut-être à rapprocher de ceux du grêlé, la justice a t-elle conservée les scellés ?

le 1er crime…….secteur de BOBIGNY 93

le 2ème crime….secteur gare AUSTERLITZ

Selon l'autopsie pratiquée lundi 18 juillet par le laboratoire de l'Institut médico-légal de Paris, Géraldine Piecko, six ans, dont le corps a été découvert samedi 16 juillet près de Tournan, a subi des violences avant d'être abandonnée dans un fossé par son ravisseur. Pour le moment, une seule piste, fragile, mais prise au sérieux par les enquêteurs : celui d'un homme qui, dans un appel téléphonique à la direction de la police urbaine de la Seine-Saint-Denis, s'est accusé de meurtre.

https://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/le-grele-le-tueur-en-serie-introuvable-7900027132

https://www.youtube.com/watch?v=UB_BQk69_Ek

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lois_Gibson

http://loisgibson.com/contact.html


https://www.youtube.com/watch?v=UB_BQk69_Ek&t=225s

https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9ch%C3%A9_capital

Le film tend à suggérer la violence plus qu’à la montrer, et grâce à la main de génie de David Fincher, il n’en reste pas moins palpitant. Les crimes, plus tordus les uns que les autres, reprennent chacun l’essence des 7 pêchés : la gourmandise est représentée par un homme obèse que l’on força à manger jusqu’à n’en plus pouvoir, l’avarice par un avocat avide d’argent, la paresse par un homme drogué que le sérial killer abandonna attaché dans un lit, la luxure par une prostitué tuée lors d’un acte sadomasochiste et l’orgueil par une femme qui préféra mourir plutôt que de vivre défigurée.

Il en manque deux, me direz-vous ? Et bien, on retrouve les deux derniers péchés, et donc les deux derniers meurtres, dans la scène finale, orchestrée malheureusement magnifiquement bien par Doe : l’envie, c’est le tueur lui-même qui la représente, car il « jalouse » la vie parfaite des deux inspecteurs de police. Arrive alors un mystérieux colis destiné à Mills, envoyé par coursier sur les lieux. À son ouverture, le jeune policier devient fou de rage et tue à son tour Doe, ce qui représente alors le septième et dernier péché : la colère.

La Famille (communauté religieuse)
La Famille est une communauté religieuse française suspectée de dérives sectaires par la Miviludes. La communauté est issue du jansénisme convulsionnaire.

Elle regroupe huit patronymes qui représentent environ trois mille personnes en 2020, habitant presque toutes dans trois arrondissements de l'est parisien1.


Sommaire
1 Histoire
2 Regards critiques sur la Famille
3 Dissidence
4 Représentation de la Famille dans la littérature
5 Notes et références
Histoire
La communauté "La Famille" est créée en 1819, le mouvement est issu d'Élie Bonjour, le fils de François Bonjour, de Jean-Pierre Thibout, qui fut le portier de Bonjour lors de leur séjour à Paris, et de François Havet. Installé dans l'est parisien, le groupe se ferme totalement en 1892 en n'admettant plus que des unions consanguines 1, sous l'influence d'Augustin Thibout, surnommé "mon oncle Auguste". Composée uniquement de membres des mêmes familles (avec seulement huit patronymes), la communauté subsiste au début du xxie siècle dans la plus grande discrétion1.



« Les mêmes cheveux blonds, le même regard »

ils se ressemblent tous beaucoup, surtout les filles. » Suzanne décrit ainsi « les mêmes cheveux blonds, le même regard, et aussi la même posture, différente de celle des ados de leur âge, toujours un peu sur la réserve. » « Bien sûr que les directeurs d'école sont au courant ! martèle Patricia. Ils côtoient ces tripotées d'enfants qui se ressemblent parfois tellement qu'on dirait des clones. »

https://www.tomsguide.fr/des-scientifiques-reussissent-a-collecter-de-ladn-dans-lair/

https://www.ladepeche.fr/article/2016/10/23/2444855-alain-penin-psycho-globe-trotter-pour-serial-killers.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_hospitalier_Sainte-Anne

https://www.topito.com/top-meurtres-resolus-annees-apres

https://lesjours.fr/personnages/elie-lauringe/#episodes

https://charliehebdo.fr/2021/02/societe/comment-rechauffer-les-cold-cases

https://www.sudouest.fr/2015/02/22/le-tueur-au-visage-grele-court-toujours-1837439-4693.php?nic

https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/crimes-faits-divers-la-quotidienne-jean-marc-morandini-relance-une-affaire-des-annees-80_8fb5551e-2adc-11e9-a5ea-1a5073519f6d/

https://madame.lefigaro.fr/societe/les-hommes-serial-killers-et-les-femmes-leurs-victimes-060115-93647

https://www.femmeactuelle.fr/sante/psycho/temoignage-mon-metier-psychologue-du-crime-2074066